Adultère adulé
Moi, accusé d’adultère
J’ai simplement la tête en l’air
J’oublie qui est ma très chère
Les autres, entre elles, se querellent
Sans jamais toucher à mes ailes
Je suis un cupidon au grand jamais virtuel
Moi, accusé d’adultère
J’ai simplement la main légère
Compter, elle ne sait guère
Elle caresse et aime des corps, encore
Je suis un conquistador
Celui que les femmes adorent
Moi, accusé d’adultère
J’ai simplement le cœur mystère
Je ne chuchote jamais de paroles mensongères
Mes lèvres déversent tant de baisers
Que même leur peau se sent parfois dupée
Pourtant, je suis, sans cesse, prêt à vous Aimer
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